Lanceur d’alerte est devenu un métier. Au niveau national comme à l’international. Beaucoup de ces lanceurs d’alerte sont convaincus et sont sincères. Et prennent des risques au surplus. Au point que deux d’entre eux, qui ont fait des révélations sur les dessous de la politique américaine, en particulier, sont l’un en prison l’autre réfugié hors de son pays. Julien Assange est en prison en Angleterre, Edward Snowden est réfugié en Russie. Ce sont certainement les 2 plus connus. Et il semblerait bien que cela devrait nous concerner en tant que chrétiens.

Qu’est-ce qu’un lanceur d’alerte ?       Un lanceur d’alerte est une personne physique qui signale ou divulgue, sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime: Infraction la plus grave punissable par une peine de prison (homicide volontaire ou viol par exemple), un délit: Acte interdit par la loi et puni d’une amende et/ou d’une peine d’emprisonnement inférieure à 10 ans, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général. Il peut également s’agir d’une violation (ou une tentative de dissimulation de cette violation) d’un engagement international de la France.
  • Légitimes inquiétudes dans l’empire du mensonge :

L’inquiétude grandit, en Occident, quant aux moyens technologiques dont disposent les états pour réprimer les libertés. De plus, depuis deux décennies, au moins, la non visibilité des buts que cherchent à atteindre nos chers dirigeants est manifeste. Les cercles de concertation à l’échelle mondiale sont nombreux par ailleurs : groupes tels que Bilderberg, le Forum économique mondial (WEF) ; des réunions gouvernementales comme le G7 et le G20 ; les clubs genre Le Siècle ou Lion’s Club ; les soi-disant bienfaiteurs de l’humanité que sont les milliardaires, tels Soros et Bill Gates ; les ONG(s) diverses et variées, toute en influence et sous influence. À quoi sert toute cette agitation des élites politiques et économiques ? N’est-ce pas pour contrôler et orienter les peuples ? Il est donc normal que des personnes un tant soit peu lucides s’interrogent et lancent des alertes, creusent et émettent des théories, l’Internet aidant. Le propre des élites étant de se concerter sur la tête de la populace, la parole des hommes politiques est de moins en moins crédible. Et moins encore quand elle vient de leurs serviteurs et valets médiatiques. Lesquels ont dévoilé leur travail servile durant la Pandémie dite 19. Bref que cherchent-ils au juste ? Le bien commun est-il toujours leur principale préoccupation ?

Il faut reconnaître, en toute honnêteté, que l’écrasante majorité de ces lanceurs d’alerte provient des pays faisant partie de l’Occident. Ces pays sont pour la plupart inféodés aux intérêts des « globalistes » comme le disent lesdits lanceurs d’alerte, certes, mais c’est aussi là que le combat se mène justement. Pour la liberté d’expression, bien sûr, mais aussi pour le droit de connaître la vérité. On n’imagine pas cela en pays communiste, comme la Chine. Non qu’il n’y en ait pas, mais parce que le régime chinois veille, censure et emprisonne à tour de bras. Ce que, du reste, les pays “démocratiques” cherchent à effectuer : contrôler ces libertés de penser, d’opinion et d’expression qui existent pour le moment.

Cela devrait-il concerner les chrétiens ? Doivent-ils s’alarmer face à cette effervescence mondaine ? Le Christ nous a-t-il encouragés à être en alerte ? Bien sûr, mais pas pour nous inquiéter. Pourquoi alors ? Pour veiller et attendre son retour :

  • En st Mat. 24.42 : « Veillez donc, car vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient.»
  • En st Marc, c’est mieux développé, au chapitre 13, 33-36 : « Prenez garde, restez éveillés : car vous ne savez pas quand ce sera le moment…C’est comme un homme parti en voyage… [qui a] demandé au portier de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand vient le maître de la maison, … il ne faudrait pas qu’il vous trouve endormis. Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »

Or c’est lorsque Jésus est incité, par les Apôtres, à aborder la question de son retour qu’il indique à ses disciples de « veiller et prier » ; car il y aura une période de détresse terriblement périlleuse, comme il n’y en a jamais eu, et comme il n’y en aura jamais plus. St Matthieu 24, 29 : « Aussitôt après la détresse de ces jours-là, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ; les étoiles tomberont du ciel et les puissances célestes seront ébranlées. » Ce ne sont pas des astres dont il s’agit, mais des puissances célestes, comme les anges déchus qui tomberont sur la terre : Apocalypse (12,09)Oui, il fut rejeté, le grand Dragon, le Serpent des origines, celui qu’on nomme Diable et Satan, le séducteur du monde entier. Il fut jeté sur la terre, et ses anges furent jetés avec lui.”

Il est indéniable que nous sommes entrés dans un temps de détresse nouveau, inconnu depuis la naissance de l’Église. La société est bâtie sur la famille qui est elle-même bâtie sur l’individu. Qui ne voit pas qu’on enlève aux individus tous leurs repères ? Que ce soit dans son identité de genre, son statut familial ou national, tout est remis en question. L’éthique et le sens de la vie, la religion et Dieu, tout est détricoté, ou peut se détricoter. L’avortement demandé à être inscrit dans la Constitution française, est-ce possible ? Même la religion catholique est entrée dans l’ère du détricotage. En conséquence ne pas s’interroger sur ce qui se trame, ce qui se prépare est un pur aveuglement.

  • Émetteurs de théories ou complotistes ?

Cependant, dans ces nouveaux métiers d’alerteurs, se sont engouffrés, ou l’ont été par les médias institutionnalisés, ceux que ces derniers appellent “les complotistes”. Un peu facile à dire, car ourdir un complot, ou le dévoiler, est par définition de l’ordre du secret : qu’on jure que le secret n’existe pas ou qu’il existe, on n’est pas mieux avancé. De sorte qu’il y a à boire et à manger parmi ces avertisseurs de tout ce qui se trame secrètement. Et des théories multiples se sont faites jour, plus ou moins fantaisistes. Sur les officines, plus ou moins connues, plus ou moins discrètes. Exemple : la terre est plate ! Toutefois, s’en défendent les lanceurs d’alerte, de fausses théories peuvent parfois, et même souvent, provenir des services de l’état, pour décrédibiliser, en sens inverse, les vraies. Ainsi l’expression « théorie du complot » viendrait d’ailleurs d’une note de la CIA demandant à ses agents de lutter contre les gens qui remettent en cause la version officielle de l’assassinat du président américain, J.F. Kennedy.

Mais nous allons nous intéresser, nous, à la théorie qui a cours à propos de l’Église catholique. Il faut noter tout de suite qu’il y’a des chrétiens parmi ceux qui dénoncent le Vatican comme un lieu de tous les secrets et dont les caves regorgent de trésors. Ils sont majoritairement non catholiques, disons le de suite. Il y a aussi des incroyants et des  adeptes d’autres religions, en plus grand nombre, qui n’en doutent pas et soutiennent cette thèse. Nous n’incluons pas, bien évidemment, ce qui relève du fameux 3ème secret de Fatima. Il n’intéresse pas ces adversaires de la hiérarchie catholique honnie. Ce qui les intéresse c’est plutôt les anciennes archives qui dateraient de l’Antiquité tardive, du Moyen-âge, de la Renaissance et des temps modernes jusqu’au Concile.

Les archives du Vatican L’un des secrets les plus célèbres est celui des archives secrètes de cet état souverain. Situées au cœur de la Cité, elles renferment une immense collection de documents historiques et de correspondances pontificales datant de plusieurs siècles. On estime que seulement une petite partie de ces archives a été rendue publique jusqu’à présent, ce qui alimente les théories selon lesquelles des informations capitales sur l’histoire de l’Église et du monde pourraient être gardées secrètes. Toutefois, il convient de noter que le terme “secret” dans le contexte des archives du Vatican signifie plutôt privé” ou “réservé” plutôt que “caché” ou “conspirateur”.

Tout est réinterprété par le fantasme collectif. Par le bouche à oreille individuel. Ainsi on parle de tunnels de 85 kms sous le Vatican, quand il s’agit de 85 kilomètres linéaires de documents !  Des trésors il y en a, mais ce sont des peintures, des ornements liturgiques, des statues, des vases et de l’architecture.

Michel-Ange Voûte et fenêtres de la chapelle Sixtine.

Estimation des réserves du Vatican   La véritable valeur des réserves du Vatican reste un mystère. L’Église n’a jamais publié un bilan complet de ses actifs, ajoutant à la spéculation et aux théories sur sa véritable valeur. Cependant, les estimations varient généralement de plusieurs milliards à plusieurs dizaines de milliards d’euros. La richesse du Vatican est répartie de différentes manières. Il y a la richesse immobilière, qui comprend des propriétés immobilières à Rome et dans d’autres parties de l’Italie, ainsi qu’à l’étranger. Ensuite, il y a les investissements financiers, gérés par l’Institut pour les œuvres de religion (IOR), communément appelé la banque du Vatican. Enfin, il y a le trésor artistique et culturel du Vatican, qui comprend des œuvres d’art inestimables, des manuscrits anciens, des reliques religieuses et bien plus encore. Cependant, l’estimation de ces réserves reste une tâche complexe. Par exemple, comment évalue-t-on les biens immobiliers ou les œuvres d’art dont le Vatican n’a pas l’intention de vendre ? De plus, certaines des ressources financières du Vatican sont consacrées à des fins spécifiques, comme la charité ou l’éducation, et ne sont donc pas “liquides” au sens habituel du terme… Lorsque l’on compare la richesse du Vatican à celle de personnalités riches, comme Bernard Arnault ou Jeff Bezos, la perspective change également. Ces individus possèdent d’énormes fortunes personnelles, accumulées grâce à leurs entreprises respectives. Cependant, la richesse du Vatican n’est pas la propriété d’un individu, mais est détenue par l’Église en tant qu’institution. Elle est utilisée pour soutenir les activités religieuses, caritatives et éducatives de l’Église à travers le monde.
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  • Le message de l’Eglise catholique est brouillé…

Qu’en est-il maintenant de la théorie qui nous a le plus surpris ? Celle que tous, ou presque tous, considèrent comme vraie. Le Vatican ferait partie d’une triade maléfique se composant de trois cités qui gouvernent le monde. Celle de Londres (La City), où réside le pouvoir financier, celle du Vatican, domiciliation du pouvoir spirituel, et celle de Washington, où règne le pouvoir militaire. Ces trois pouvoirs se seraient constitués et agiraient de manière occulte, de concert avec la franc-maçonnerie ! Sans oublier les “Illuminati”. Auxquels d’autres ajoutent la puissance financière des Rothschild et autres familles Khazars (1). Tout est possible sous le soleil de Dieu qu’il fait briller sur les bons et les méchants. Et ces temps derniers nous avons eu des turpides dévoilées chez des dignitaires catholiques de rang élevé. Alors nous avons cherché, comme le recommandent certains youtubeurs et blogueurs. Mais nous n’avons pas trouvé d’autres informations que celles d’en-dessous. Comment l’Église catholique pourrait travailler avec ces obscurs ennemis de la foi en Jésus-Christ ? Lequel est le fondateur de la papauté, quoi qu’on en dise. Cependant, nous fait-on remarquer, ce sont les dirigeants de l’Église, sa haute hiérarchie, c’est à dire essentiellement les papes qui se sont compromis avec ces puissances de l’ombre. Toutefois les condamnations de ces organisations secrètes ou “opératives” sont là pour démontrer qu’il est difficile de croire à une collusion entre la papauté et elles. Jusqu’au Concile Vatican II du moins.

— Les Illuminati, dont Goethe a fait partie, dit-on, sont fondés en Bavière en 1776, par Adam Weishaupt, formé chez les jésuites (école), sur le modèle de la franc-maçonnerie. Le prince-électeur de Bavière interdit le groupe en 1785, en raison de soupçons d’une volonté réelle de subvertir l’institution ecclésiale et celle de l’état. Les Illuminati sont dissous et, en 1787, leur fondateur est banni et va se réfugier en Saxe. Quelques membres se réfugièrent en Amérique où ils fondèrent une loge, considérée comme l’héritière du mouvement.

Les francs-maçons : en 1738, le pape Clément XII, “constitue” une première condamnation claire de la franc-maçonnerie, dont les premières loges avaient été fondées en Angleterre dans la décennie 1710/1720. Nouvelle condamnation par le pape Benoît XIV, en 1751, qui interdit de fréquenter des francs-maçons ; puis par le pape Pie VIII, en 1829 ; par Pie IX, en 1846 ; enfin par Léon XIII, en 1884, qui condamne le relativisme philosophique et moral de la franc-maçonnerie. En revanche les tentatives de rapprochement n’ont jamais manquées. Et elles se poursuivent sous le pontificat du pape François. Avec lequel elles aboutiront peut-être.

Le communisme, né et pensé au 19ème siècle, a aussi un peu d’ADN chrétien dans ses gênes, si on peut dire, comme la franc-maçonnerie. Sa condamnation est plus tardive. C’est en 1937 que Pie XI, dans l’encyclique Divini Redemptoris, définit le communisme comme une idéologie « intrinsèquement perverse ». La période la plus dure de l’affrontement entre l’Église catholique et le communisme a eu lieu à la sortie de la 2ème guerre mondiale. L’Église est assiégée de toutes parts : à l’Ouest, avec les partis communistes de France et d’Italie, les 2 plus puissants. À l’Est tous les partis satellites de l’URSS. Les communistes ont eu une politique d’intimidations et de persécutions. En 1949, un décret du Saint-Office interdira toute forme de collaboration avec le communisme sous peine d’excommunication. Les choses ne changeront vraiment qu’à la chute du mur de Berlin, en 1989. Il y a eu deux épisodes d’intrusion indirecte de l’idéologie marxiste-léniniste dans l’Église, selon certains : celui des prêtres ouvriers (années 1950/60 et après le concile Vatican II) catalogués « rouges » au contact du monde ouvrier et des syndicats plus ou moins communistes ; et celui, en Amérique latine surtout, de la “Théologie de la libération“. La brève définition de celle-ci : « elle repose sur la prise de conscience que les pauvres attendent une libération réelle et qu’il est vain de parler du Christ et du salut qu’il apporte si ce salut n’est pas immédiat. Le critère le plus précis de l’authenticité évangélique est donc la lutte contre la pauvreté. ” La création d’une société juste et fraternelle est le salut des êtres humains, si par salut nous entendons le passage du moins humain au plus humain. On ne peut pas être chrétien aujourd’hui sans un engagement de libération”. » (Gustavo Gutierrez).

Les Rothschild, n’ont aucun lien avec la papauté, et pour cause. Cependant il est bien connu qu’ils ont fait des prêts au 19ème siècle au Saint-Siège. Le pape Grégoire XVI a supervisé l’accord de prêt entre la famille Rothschild et le Saint-Siège en 1832.

Les prêts des Rothschild au Saint-Siège fait référence à une série de prêts financiers importants arrangés entre la famille Rothschild et le Saint-Siège de l’Église catholique. Le premier emprunt qui a eu lieu en 1832 a eu lieu dans la séquence de temps après les guerres napoléoniennes pendant le pontificat du pape Grégoire XVI (impliquant James de Rothschild et Carl Mayer von Rothschild). Ce prêt accordé était d’un montant de 400 000 £ (équivalent à 37,4 millions de livres sterling en 2019). Un deuxième emprunt a eu lieu pendant le pontificat du Pape Pie IX (“Pio Nono“) au début des années 1850 avec les mêmes membres de la famille Rothschild après l’effondrement de Giuseppe Mazzini, révolutionnaire ayant fondé la République romaine, et la restauration des États pontificaux.

La city (de Londres), si elle a eu des relations avec la cité du Vatican, qui a commencé à exister en tant que Cité-État que depuis 1929, bien que possibles, n’ont pas laissé de traces sur le Web. D’autant que la banque vaticane n’existe, en tant que telle, que depuis 1942.

— Washington DC. Pareillement que pour la City, pas de traces sur le Web de relations entre les deux centres de décision : celui du Vatican et celui des USA.

 

Conclusion : 

Les papes sont faillibles à titre individuel. Ici il n’est pas question de juger les personnes. Mais plutôt de passer au crible ce qu’ils font. C’est normal pour ceux qui sont catholiques comme pour ceux qui ne le sont pas. Jésus l’a permis : vous jugerez l’arbre à son fruit. Prenons l’exemple de Benoît XVI. Est-il interdit de s’interroger et de chercher à comprendre pourquoi il s’est retiré brusquement en 2013 ? Or si certains l’accusent de collusion avec les globalistes, parmi les « complotistes », sur les réseaux sociaux, d’autres disent qu’il ne convenait pas à la mise en place de l’Agenda 2030. Que c’est le gouvernement de Barack Obama qui l’a poussé à se retirer. Apparemment il n’était pas vraiment conforme à leurs souhaits. Ou renâclait-il à leur obéir.

Un catholique peut et doit écouter de telles assertions ; et, s’il en a les moyens, les vérifier. Tout en restant prudent concernant ce qui est rapporté au sujet du Vatican, dans les médias, officiels ou non, dans les réseaux sociaux à plus forte raison. Mais il doit rester ouvert et écouter la position et les arguments des uns et des autres. D’ailleurs on constate, curieusement, que le Saint-Père actuel a les faveurs des médias, à l’inverse de ses prédécesseurs. La vidéo ci-dessous, est un exemple de ce que rapporte les médias parallèles. Les faits qu’i y sont rapportés peuvent tous être vérifiés.

Par ailleurs nous avons dit ici que, pour nous le Khatekon dont parle st Paul, qui doit être écarté pour que l’Antéchrist apparaisse, est la papauté-pape. Après ce qui a été entrepris par le pape François, il sera impossible à son successeur de revenir en arrière. La papauté ne jouera plus son rôle de barrage à ce qui s’en vient. Attention ce n’est pas l’Eglise qui est ébranlée mais la papauté. L’Eglise a pour tête le Christ et les portes de l’Enfer ne prévaudront pas contre elle. Mais en même temps l’Eglise militante, sur terre et non au ciel, sera apparemment vaincue dans son Magistère suprême, pour un court laps de temps ; selon les annonces du Christ (2) et de saint Paul (3). Ce n’est qu’une fois ce temps de tribulation passé que se produira le retour du Christ, toujours selon st Paul (3) : Alors sera révélé l’Impie, que le Seigneur Jésus supprimera par le souffle de sa bouche et fera disparaître par la manifestation de sa venue.

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(1) – a) Les Rothschild sont des Ashkénazes et font partie des familles juives établies en Europe centrale et orientale. Mais des historiens discutent encore sur l’hypothèse d’une origine non pas proche-orientale mais plutôt khazar. Les Khazars sont un peuple établi à l’ouest de la mer caspienne, dont une partie se serait convertie au judaïsme au 8ème siècle.

(1) – b) Nous écartons l’hypothèse assez invérifiable des Templiers et autres ordres hospitaliers (nés au Moyen-âge) dont les richesses seraient devenues la propriété du Vatican, après leur disparition, ou qui en a bénéficié durant leur longue existence.

(2) Ce passage de st Matthieu : 24.15 Lorsque vous verrez l’Abomination de la désolation, installée dans le Lieu saint comme l’a dit le prophète Daniel – que le lecteur comprenne ! –

(3) Ce passage de la 2ème lettre aux Thessaloniciens, du chapitre 2 : 03 Ne laissez personne vous égarer d’aucune manière. Car il faut que vienne d’abord l’apostasie, et que se révèle l’Homme de l’impiété, le fils de perdition, 04 celui qui s’oppose, et qui s’élève contre tout ce que l’on nomme Dieu ou que l’on vénère, et qui va jusqu’à siéger dans le temple de Dieu en se faisant passer lui-même pour Dieu.