Lisons d’abord les conclusions auxquelles parviennent certains analystes : « Le consistoire – création de nouveaux cardinaux – annoncé, par surprise, par le pape François, dimanche 1er septembre, est sans doute le plus «politique» de son pontificat. Le profil des treize hommes sélectionnés par François apparaît même comme un message très clair pour l’Église catholique. Plus que jamais, le Pape veut une Église engagée pour les plus pauvres, amie de l’islam et militante de l’écologie. »    Voir l´article du Figaro.

Ailleurs c’est en tant que Pape mondial et/ou mondialiste qu’il donne ses orientations de messie planétaire et écologiste.

Ce faisant il néglige, pour certains c’est même un désintérêt, les affaires proprement chrétiennes, ou spécifiquement catholiques tél celui des millions d’enfants empêchés de naitre.

Comme je l’ai souvent dit, voire trop dit à mon goût, le pape François n’est pas l’Antechrist, comme l’e accusent quelques uns, mais il prépare sa venue. Involontairement ou volontairement je ne saurais le dire. Dieu seul le sait.

Pour ma part c’est la dernière fois que je parle de lui, car je vais me désengager de l’Eglise catholique officielle qu’il dirige, puisqu’il a renoncé à transmettre le dépôt laissé par le Christ et ses Apôtres après lui. Au demeurant je publierai ici les démarches infructueuses faites au nom des convertis de l’islam à Christ.