Il est étonnant de constater comment les dents des islamistes grincent, leurs yeux mitraillent et leurs cerveaux fument lorsqu’ils entendent et regardent le père Zakaria Boutros. Alors, bien sûr, faute de pouvoir le DESCENDRE ou de le faire taire, ils prennent leur désir pour une volonté divine : ils le voient en Enfer ! (voir le dernier message)

Mais lui, sûr de Celui en qui il croit et assuré de son aide, il développe calmement ses arguments et invite les vrais chercheurs de Dieu à se poser des questions sur cette religion verrouillée !

L’Islam est verrouillé par qui ? Par Dieu ? Certainement pas : ce n’est pas le genre du Créateur d’interdire à ses serviteurs sincères de se poser des questions, de chercher, de frapper à la porte de la vérité. Voici ce qui dit Jésus à ce propos (Mt 7, 7-11):

7 Demandez et l’on vous donnera; cherchez et vous trouverez; frappez et l’on vous ouvrira.

8 Car quiconque demande reçoit, qui cherche trouve, et l’on ouvrira à qui frappe.

9 Y a-t-il parmi vous un homme qui, si son fils lui demande du pain, lui donnera une pierre?

10 Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent?

11 Si donc vous, tout méchants que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos

enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il ce qui est bon à ceux qui lui demandent.

Non la doctrine islamique est une invention de ceux qui veulent dominer, les hommes assoiffés de pouvoir ; ce sont bien eux, les gardiens du Temple musulman, qui utilisent cette doctrine à leur profit et l’ont verrouillée de telle sorte que personne ne puisse la remettre en question sans encourir leur colère. Ce n’est pas la colère de Dieu dont il s’agit, mais leur colère à eux ! Ils l’ont disposée comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête du croyant : s’il ose questionner ou s’interroger sur les dogmes, elle s’abat de façon implacable !

Mais là encore voici ce que dit d’eux Jésus (Mt 10, 26-33) :

26 Ne les craignez donc point : car il n’y a rien de caché qui ne doive se découvrir, rien de

secret qui ne doive être connu.

27 Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le au grand jour, et ce que vous entendez à l’oreille, publiez-le sur les toits.

28 Ne craignez pas ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme; craignez plutôt celui qui peut perdre l’âme et le corps dans la géhenne.

29 Deux moineaux ne se vendent-ils pas un as? Et pas un d’entre eux ne tombe sur la terre,

sans (la permission de) votre Père.

30 Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés.

31 Ne craignez donc point : vous valez, vous, plus que beaucoup de moineaux.

32 Celui donc qui me confessera devant les hommes, moi aussi je le confesserai devant mon

Père qui est dans les cieux;

33 mais celui qui me reniera devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui

est dans les cieux.

Ô jeune homme de nationalité marocaine ! Ô musulman ! Ouvre ton esprit à la vérité, questionne les hommes de ta religion, lis le Coran et les Hadiths et pose toi les bonnes questions, et en particulier celle-ci : Dieu est-il bon comme un père pour moi, ainsi que le dit Jésus, ou bien un juge implacable et menaçant qui m’intime l’ordre de me taire et qui refuse toute interrogation, ainsi que le proclament Muhammad et le Coran ?

Tu es seul devant Dieu, à genoux ou debout, dans ta chambre ou dans ton lit, qui t’empêche de lui demander d’un cœur sincère : « Ô Dieu, Toi qui est mon créateur, montre moi où est la vérité, je T’en conjure : est-elle dans l’Evangile ou dans le Coran ? Au nom de la Vérité que Tu es et que je cherche, éclaire moi, par pitié, est-ce que le vrai Jésus est celui du Coran ou celui de l’Evangile? »

Dieu t’aime et il entendra ton appel. Et, j’en ai la certitude, Il te répondra, mais sauras-tu l’entendre et l’écouter ?

C’est entre Lui et toi, cela ne me regarde plus. Moi je t’ai exhorté, en tant que frère, à te tourner vers Lui.

Fraternellement par le même sang qui courre dans nos veines.