Changement ou bouleversement. Le monde est dominé par l’Amérique, ce n’est pas une vue de l’esprit, mais une réalité historique, depuis la fin de la 2ème guerre mondiale. Le phénomène s’est amplifié après la chute de l’URSS. Même si la Russie, et encore plus la Chine, conteste le monde unipolaire imposé par les USA, les rênes du pouvoir mondial y sont tenus.
Cela ne veut pas dire que les représentants politiques, tel le Président, les députés et autres sénateurs du pays, ou même son administration, détiennent le pouvoir réel et les orientations économiques, militaires et sociétales qu’on cherche à imposer à la planète entière. Les USA sont simplement le bras droit d’un pouvoir, appelé “Deep State”, Etat profond en français par convention. Qui est, ou qui sont à la tête de cet Etat profond, mondial par ailleurs ? John F. Kennedy dénonçait déjà cet “état de fait” (1). Et il avait dit que le peuple américain avait été spolié et n’était plus le maître du pays.
Or depuis les élections de 2016, gagnées par Donald Trump, contre toute attente, face à celle qui devait hériter de la présidence dans la foulée des 8 ans de pouvoir d’Obama, et 16 ans après le règne de son mari, Bill Clinton, il y a une nouvelle donne aux USA. L’actuel occupant de la Maison Blanche, Joe Biden, prétendument catholique, n’est là, après des élections truquées, que pour dévoiler toutes les faces cachées du système étatique étatsunien.
Voici le témoignage (2 minutes) de l’ancien président exécutif de l’ONU et du Club de Rome. Calin Georgescu (2) révèle comment Trump a interrompu la chronologie du plan qui aurait dû avoir lieu en 2016 sous la présidence d’Hillary Clinton :
Voici un autre point de vue. D’origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années, et il dit qu’il est catholique. Juriste de formation, il a exercé le métier d’avocat plusieurs années avant de se consacrer au développement du système de Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs. Où il parle de l’Antéchrist, à partir de Dostoevsky et de Soloviev, qu’il appelle les deux prophètes de notre temps.
En plus complet ici : « 2 grands prophètes ont prévu le drame qui arrive »
Cela nous amène à rappeler le chapitre 11 de l’apocalypse. Il s’agit des 2 témoins (11:03-08) que le Seigneur envoie avant la domination de Satan à travers les deux Bêtes et l’Antéchrist.
03 Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, vêtus de toile à sac, pendant mille deux cent soixante jours. »
04 Ce sont eux les deux oliviers, les deux chandeliers, qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.
05 Si quelqu’un veut leur faire du mal, un feu jaillit de leur bouche et dévore leurs ennemis ; oui, celui qui voudra leur faire du mal, c’est ainsi qu’il doit mourir.
06 Ces deux témoins ont le pouvoir de fermer le ciel, pour que la pluie ne tombe pas pendant les jours de leur prophétie. Ils ont aussi le pouvoir de changer l’eau en sang et de frapper la terre de toutes sortes de fléaux, aussi souvent qu’ils le voudront.
07 Mais, quand ils auront achevé leur témoignage, la Bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra et les fera mourir.
Nous reviendrons sur ces deux témoins, pour nous demander : sont-ils apparus ?
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(1) Voir ce discours fondateur pour ceux qui cherchent à comprendre : « Discours de la paix » de John F. Kennedy (10 juin 1963). En version intégrale.
(2) Călin Georgescu (né en 1962) est un expert roumain de haut niveau en développement durable, reconnu dans le domaine, après 17 ans de service dans le domaine de l’environnement au sein du système des Nations unies. Georgescu a été nommé directeur exécutif de l’Institut mondial des Nations unies pour l’indice de durabilité à Genève et à Vaduz pour la période 2015-2016. Avant cela, il a été président du Centre de recherche européen du Club de Rome (2013-2015). Il est également membre du Club de Rome International en Suisse. Sources : Wikipédia et Twitter.