Tout finit par se savoir: Ben Laden (1) a été un bébé adorable, pour sa maman, forcément. Mais tous ceux qui moururent dans les tours jumelles furent des bébés adorables pour leurs parents. Même Hitler et Pol Pot furent d’adorables bébés, aux yeux de leurs mères…non seulement pour leurs mamans mais pour leur Créateur.
1) Parlons d’abord du Créateur :
En effet Dieu, nous dit la Bible, dans le livre de la sagesse, chap. 11 : 23-26 :
Pourtant, tu as pitié de tous les hommes, parce que tu peux tout. Tu fermes les yeux sur leurs péchés, pour qu’ils se convertissent. 24 Tu aimes en effet tout ce qui existe, tu n’as de répulsion envers aucune de tes œuvres ; SI TU AVAIS HAÏ QUOI QUE CE SOIT, TU NE L’AURAIS PAS CRÉÉ. 25 Comment aurait-il subsisté, si tu ne l’avais pas voulu ? Comment serait-il resté vivant, si tu ne l’avais pas appelé ? 26 En fait, tu épargnes tous les êtres, parce qu’ils sont à toi, Maître qui aimes les vivants,
L’auteur sacré du livre de la Sagesse (de Salomon) ajoute :
Qu’ils sont grands, tes jugements, et difficiles à faire comprendre ! Ceux qui n’en sont pas instruits s’égarent.
Oui seul le Jugement de Dieu sera juste et équitable, à l’inverse de ceux des hommes.
2) Parlons des mamans en nous basant sur l’exemple de celle de Ben Laden, laquelle dit (selon ce que rapporte le journaliste algérien Ahmed Halli), sur le Soir d’Algérie :
Comme toutes les mamans qui refusent de croire qu’elles ont mis un monstre au monde, Alia s’est persuadée que son fils est victime de ses fréquentations et qu’il a subi un lavage de cerveau. Notamment sa fréquentation de Abdallah Azzam. Elle pousse le déni jusqu’à refuser, jusqu’à présent, de croire que son fils est derrière les attentats du 11 septembre; alors que les deux frères d’Oussama, présents à l’entretien, n’avaient aucun doute à ce sujet. On apprend, [aussi], que sa maman, Alya Ghanem, est d’une famille chiite-alaouite, installée à Lattaquié, en Syrie, et c’est lors d’un voyage d’affaires que le père d’Oussama l’a épousée. […] la maman de Ben Laden affirme que son fils ne l’a jamais incitée à abandonner le chiisme et n’a jamais fait pression dans ce sens. [Cette tolérance] de Ben Laden qui permet que sa maman se cramponne au chiisme, alors que lui rêvait d’exterminer tous les chiites, est surprenante selon Ahmed Halli.

Abdallah Azzam (1941-1989), le théoricien palestinien du djihad a été considéré, un moment, comme le bras droit de Ben Laden, après avoir été son mentor. Issu du mouvement des Frères musulmans, il a été le théoricien attitré du terrorisme, ayant été à bonne école puisqu’il a été diplômé d’Al-Azhar. Il est mort dans un attentat à l’explosif à Peshawar, en novembre 1989.

 

3) Dis moi qui tu fréquentes je te dirais qui tu es !
La mère de Ben Laden a sans doute raison : elle a donné une bonne éducation à son fils tout comme son lait maternel ne pouvait qu’être bon ainsi que celui de toutes les mamans ! Et ce lait vient de Dieu, qui nous dit que tout ce qu’Il crée est bon. Quand elle signale l’influence néfaste sur son fils de ce Palestinien, plus âgé de 16 ans et qui fut son professeur, est plus notable que l’influence qu’il a pu, et a surement subi, en tant qu’ancien agent des Saoudiens, très liés aux services américains. Cependant ceux, parmi les musulmans, qui prétendent que les services secrets américains lui auraient suggéré l’attentat des deux tours jumelles de New-York, sont animés par d’autres motivations. Il était alors devenu adulte et sorti de l’enfance. Car l’influence, certainement la plus déterminante, fut la formation qu’il a reçu à l’école du Wahhabisme pendant 4 ans. Une influence autrement plus marquante pour l’adolescent qu’il était encore.
N’est-ce pas une pratique ancienne du reste de “formater” les esprits des enfants ? L’oeuvre essentielle de l’école ou, plutôt, des écoles idéologiques qui se donnent ces sortes d’orientations. Allant jusqu’à entrainer et à armer les enfants pour la guerre ! En Afrique, an Amérique latine, en Orient, proche et lointain et, même en Europe comme l’actualité de l’Ukraine, où se déroule une guerre vieille de 8 ans avec des groupes nazis qui ne s’en cachent pas, nous le donne à voir :
Mais le pire est cette mode apparue aux USA, qui s’est propagée dans tout l’Occident, d’instrumentaliser les enfants, avec souvent l’accord des parents, pour changer de sexe. Cette vidéo en est un exemple caricaturale:
Et nous ne parlons pas de la pédophilie qui fait, hélas, des ravages dans ces mêmes pays, couverte par certains états qui plus est.
Qui peut arrêter toutes ces folies ? Bien évidemment Celui qui les a permises en attendant que prenne fin le temps qu’Il leur a fixé.
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(1) Ce post avait été publié sur N-Dame de Kabylie en aout 2018 (page Facebook). En m’inspirant des informations que donnait un article du journal “Le Soir d’Algérie“. Voici l’extrait utilisé en entier :
Sept ans après la mort de son fils, Alia Ghanem, la mère d’Oussama Ben Laden qui vit actuellement à Djeddah, s’est prêtée aux confidences sur les visages inattendus et inconnus de son rejeton. Dans une interview au quotidien britannique The Gardian, largement reprise dans les médias arabes, Alia Ghanem confirme que les Américains ne pouvaient pas ignorer la cachette de Ben Laden. Elle raconte ainsi qu’en 2009, soit deux ans avant sa mort, elle a rendu visite à son fils dans sa maison, au Pakistan, où elle est restée plusieurs jours en compagnie des deux frères d’Oussama. Comme pour montrer que Ben Laden était comme un poisson dans l’eau au Pakistan, la maman raconte qu’un jour il avait ramené, de la chasse, du gibier,(2) autour duquel la famille avait festoyé. Elle a également évoqué l’enfance de son fils qui était un garçon très timide, et un brillant élève, jusqu’à ce qu’il fasse la rencontre d’un certain Abdallah Azzam.(3) Comme toutes les mamans qui refusent de croire qu’elles ont mis un monstre au monde, Alia s’est persuadée que son fils est victime de ses fréquentations et qu’il a subi un lavage de cerveau.
Elle pousse le déni jusqu’à refuser, jusqu’à présent, de croire que son fils est derrière les attentats du 11 septembre; alors que les deux frères d’Oussama, présents à l’entretien, n’avaient aucun doute à ce sujet. Tout ceci paraîtrait normal s’il n’y avait pas eu cette surprenante révélation qui épaissit le mystère et suscite de nouvelles interrogations sur la vie et la carrière de Ben Laden. On apprend, en effet, que sa maman, Alya Ghanem, est d’une famille chiite-alaouite, installée à Lattaquié, en Syrie, et c’est lors d’un voyage d’affaires que le père d’Oussama l’a épousée. La première épouse de Ben Laden, Nadjwa Ghanem, est issue, elle aussi, de la même famille chiite puisqu’il s’agit de la fille de son oncle maternel, Ibrahim, partenaire commercial du père d’Oussama. Or, personne n’ignore l’hostilité et la haine que professent les organisations terroristes sunnites, Al-Qaïda en particulier, à l’encontre du chiisme. Mais il y a mieux, ou pire, selon le point de vue où on se place : la maman de Ben Laden affirme que son fils ne l’a jamais incitée à abandonner le chiisme et n’a jamais fait pression dans ce sens. C’est sans doute là qu’est la véritable révélation d’un côté de Ben Laden tolérant que sa maman se cramponne au chiisme, alors que lui rêvait d’exterminer tous les chiites.”