Suivez le lien et faites vous une idée! Vous serez édifié.
Personnellement je suis tombé de haut quand j’ai découvert la haine anti-chrétienne d’Hitler, il n’y a pas si longtemps du reste. Car cela ne m’a jamais été dit par les pontifes enseignants que j’ai eu durant ma scolarité française, secondaire et universitaire. Mais les manipulations en Histoire, et j’aurais dû le savoir par l’exemple de l’enseignement historique en Algérie, sont les plus nombreuses!
La première fois que j’eus des doutes ce fut dans les années 1990: notre fille étant encore collégienne, un jour elle était revenue de l’école en colère, contre son enseignante d’histoire qui avait déclaré devant toute la classe qu’Hitler avait exterminé les Juifs au nom du christianisme!
Mais il y a mieux encore : en début d’année (févier ou mars, je ne sais plus) un curé d’une bonne soixantaine d’année, dans les Yvelines, auteur de livres, à qui nous avions été présentés, très ouvert à l’Islam sur lequel nous étions venu à discuter (ayant honnêtement reconnu qu’il n’avait jamais lu le Coran, lequel il faut lire et non pas le brûler*), mais, à court d’arguments, devinez qui il a donné comme exemple de “terroriste sanguinaire ‘chrétien’ comparable aux terroristes islamistes”? Hitler !!!
Eh! Oui, dans l’Eglise catholique on en est là hélas! Certains de ses propres membres disent d’Hitler qu’il fut chrétien, pour mieux défendre les ennemis des disciples de Jésus.
Seigneur comment faire confiance à de tels prêtres?
Aussi est-ce pour cette raison, et grâce à Joseph qui me les a retrouvés, que je mets en ligne ce document, ces preuves du “christianisme” d’Hitler, AFIN QUE NUL N’IGNORE. J’enverrai certes cet article à ce ministre du Christ afin que, s’il le souhaite, il s’amende et regrette de telles paroles scandaleuses. Car elles furent des paroles scandaleuses pour mon épouse et moi qui avons réagi, bien évidemment.
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* Lire le Coran plutôt que de le brûler
C’est de Jeanne Smits dans Présent :
“Dénoncer la construction d’une mosquée à proximité d’un lieu de destruction considéré comme un lieu de victoire de l’islam sur l’Occident décadent – par une part non négligeable des musulmans, du moins – n’oblige pas à se lancer dans la provocation stupide. Mais il faut bien voir l’affaire sous deux angles. Celui du chrétien qui devrait brûler d’abord… de charité réelle, qui consiste non à rabaisser, à humilier, et à attiser la haine de son ennemi, mais à vouloir son salut éternel, et le bonheur ineffable promis par Dieu. Le convertir, donc. Ce qui suppose de le respecter en tant qu’homme appelé à répondre librement à l’appel de Dieu – sans pour autant justifier l’erreur dont il est victime, et encore moins les crimes commis au nom de sa religion. […] Mais sur le plan de la foi, la réponse passe… par la raison : saint Louis ne discutait-il pas avec Saladin ? Plutôt que de brûler le Coran, il faudrait le lire, et le faire lire, les yeux ouverts, aux musulmans de bonne foi. C’est la leçon de Joseph Fadelle (Le prix à payer). Parce que même sans complaisance, là où il y a la haine, il est possible de mettre la charité.”