Sommes-nous entrés dans l’erreur humaine voulue pour aller vers l’inhumain ? Celle qui nous alerte, une scientifique, en a la gorge nouée. Elle insiste pour nous dire que ce n’est pas de la science-fiction. C’est la même scientifique, Carrie Madej, bouleversée, qui demande de faire connaître ce qui se trame à travers le COVID 19.

Aussi il n’y a rien à ajouter que d’écouter, pour les anglophones, et de lire pour les francophones ; puis de se faire son opinion.

Dans la vidéo suivante, la Dr Carrie Madej s’interroge sur ce que « c’est que d’être humain ». Pourquoi ? Parce que les vaccins dits [antis-] « COVID » utilisent la technologie de l’ADN/ARN qui « recompose » le code génétique tout comme Monsanto, par exemple, recompose le code génétique de nombreuses semences (y compris les tomates, le maïs, etc.), sans parler de l’application de la biotechnologie génétique aux animaux :

« La biotechnologie peut être classée comme le clonage d’animaux ayant une composition génétique identique ou le génie génétique (via la technologie de l’ADN recombinant et l’édition de gènes) pour produire des animaux ou des micro-organismes génétiquement modifiés. Le clonage permet de conserver des espèces et des races, en particulier celles qui présentent d’excellents caractères biologiques et économiques. La technologie de l’ADN recombinant combine des matériaux génétiques provenant de plusieurs sources en une seule cellule pour générer des protéines. (Journal of Animal Science and Biotechnology)

Les organismes génétiquement modifiés peuvent être brevetés et faire l’objet d’un droit de propriété. Monsanto est propriétaire des semences OGM. Une fois que les vaccins à ADN seront utilisés sur les humains – et cela n’a jamais été fait auparavant – les humains pourraient éventuellement devenir « propriétés intellectuelles » [sur les variations des gènes humains]. Nous pourrions [comme humains] en théorie être « brevetés ».

Rien de tout cela n’a été suffisamment discuté, et très peu de choses à ce sujet sont connues du grand public.

Aucun essai randomisé contrôlé par placebo n’a été réalisé. Les fabricants de vaccins sont exemptés de ces garanties et de bien plus encore.

En 2010, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) a admis que ce type de technologie peut être utilisé pour « améliorer et modifier » génétiquement les humains.

La nanotechnologie de l’hydrogel est injectée sous la peau. Elle peut s’interfacer avec les téléphones portables et l’intelligence artificielle pour surveiller pratiquement tout ce qui se trouve dans le corps humain, y compris les angoisses, les émotions, les ovulations, les vitamines, etc.

Une fois implantée, la technologie se répand dans tout le corps. Les scientifiques ne savent pas comment cela affecte notre ADN.

Selon la Dr Madej, la technologie de l’ARN et de l’ADN recombinés entraînera des modifications génétiques permanentes et inconnues dans le corps d’une personne.

Cela va-t-il créer une nouvelle espèce et détruire ainsi l’ancien Homo sapiens ?