Tout a commencé aux USA, lors d’une manifestation devant la Maison blanche en août dernier.
Le professeur Rahouma Mohammed, d’origine égyptienne, qui a longtemps caché sa conversion au christianisme, a déclaré en substance que “le temps de la peur était fini!”
Il a donc dévoilé son projet de créer une institution internationale qui défendra les convertis venus de l’islam, et qu’il était temps de faire connaitre au monde entier l’oppression subie par ceux-ci. Cette institution compte travailler avec le Congrés américain et les ONG qui défendent les droits de l’homme, et fonder des branches dans d’autres pays, en plus de l’Egypte: en Australie et en France notamment. Le nom de l’organisation est “Jésus m’a libéré” ou en arabe: “حررنى يسوع”
La présidence de la branche égyptienne a été confiée à l’avocate Najlaa el Imam, convertie récemment et ayant pour nom de baptême catherine. Les difficultés ont déjà commencé, à cause de la personnalité de cette avocate, et de ses prises de position par le passé, avant sa conversion. L’Eglise copte ne voit pas d’un bon oeil cette médiatisation, qui donne l’occasion aux islamistes d’accuser ses membres de traîtres, mais disent-ils pour leur défense “nous aimons notre pays, cependant nous estimons que c’est avec la force et la lumière du Christ que nous pourrons changer les choses!”
Les projets sont divers: création prochaine d’un site Web, publication d’un premier livre et d’un bulletin mensuel; appel aux témoignages de convertis qui seront recueillis pour assurer leur défense et serviront aux chercheurs de l’institution sur la mise à mal des droits et des libertés fondamentales. Ces témoignages aideront à révéler au grand public les pratiques terroristes contre les convertis persécutés de par le monde.
Ils sollicitent la prière des chrétiens et des hommes de bonne volonté. Rahouma Mohammed avait conclu ainsi son annonce: “Que le Seigneur vous bénisse toujours! Et que Jésus nous rende libres!”
E-mail indiqué pour les contacts : JESUS4FREEDOM@GMAIL.COM
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Eglises et maisons chrétiennes brûlées sont hélas monnaie courante en Egypte