…des pandémies et des virus, des extra-terrestres et des robots, du réchauffement climatique et des météorites, du trans-humanisme et de l’intelligence artificielle, etc. etc. Et cætera ! Et de Dieu alors ? Pas peur de Lui ?
Oh! Non pas de la punition divine, mais de perdre à jamais la vie divine qui nous est promise ! De perdre l’accès à Son Royaume où nous serons ses enfants pour l’éternité ! Et oui, de perdre la protection du Seigneur de la vie ! De ne plus l’avoir comme Père éternel, plein de tendresse et consolateur, de ne pas l’entendre nous dire : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. »

Dieu n’abandonne pas son ouvrage entre des mains malveillantes. Bien au contraire, étant Maître du temps, Il le mène à son plein accomplissement, comme on peut le voir sur ce tableau qui récapitule bien l’histoire du Salut.

Reprenons les choses depuis le début : parlons peu mais parlons vrai. Qui est le « PATRON » de la planète Terre et au-delà, du système solaire et au-delà, du cosmos et de ses constellations, de l’univers et de ses galaxies ? Qui est le Maître du temps et de ses siècles, de ses ères et de ses âges, du passé et de l’avenir, du présent insaisissable ? Qui est le Créateur de l’infiniment grand et de l’infiniment petit ? L’Alpha et l’Omega des choses visibles et invisibles, des puissances des cieux et des dominations, des séraphins et des archanges, des myriades d’anges ?
Regardons et lisons ce que l’Eternel nous présente dans l’Ecriture aujourd’hui :

« Seigneur, le monde entier est devant toi
comme un rien sur la balance, comme la goutte de rosée matinale qui descend sur la terre.
Pourtant, tu as pitié de tous les hommes, parce que tu peux tout. Tu fermes les yeux sur leurs péchés, pour qu’ils se convertissent.
Tu aimes en effet tout ce qui existe, tu n’as de répulsion envers aucune de tes œuvres ; si tu avais haï quoi que ce soit, tu ne l’aurais pas créé. Comment aurait-il subsisté, si tu ne l’avais pas voulu ? Comment serait-il resté vivant, si tu ne l’avais pas appelé ?
En fait, tu épargnes tous les êtres, parce qu’ils sont à toi, Maître qui aimes les vivants, toi dont le souffle impérissable les anime tous. Ceux qui tombent, tu les reprends peu à peu tu les avertis, tu leur rappelles en quoi ils pèchent, pour qu’ils se détournent du mal et croient en toi, Seigneur.
» (1)

Certains exégètes disent que ce texte a été écrit — nous disons, nous, « inspiré » — vers – 50 avant J.C. Pour d’autres il remonterait à Salomon, soit 8 siècles plus tôt encore. Là n’est pas la question ; écrit il y’a 2900 ans ou 2070 ans, cet écrit parle d’or : Dieu est amour et prend soin de sa création et plus encore de ses créatures ! Il n’est pas l’un de ces dieux produits par l’imaginaire humain, ou par la vilénie de certains esprits imbus d’eux-mêmes.

J’ai foi en ce Dieu Père de tous les hommes qui fera le tri entre le bon grain et l’ivraie, le moment venu

.
Ce n’est pas parce que le soleil ne se voit pas, sur cette photo, que ses œuvres ne sont pas visibles à travers les couleurs qu’il imprime sur  les nuages !

(1) Sagesse 11, 22 – 12, 2