L’affaire du 35ème président des Etats-Unis, et premier catholique à la Maison-Blanche, est-elle résolue ? Savons nous enfin, après la déclassification de son dossier considéré comme un secret d’état, qui est derrière son assassinat ? A-t-il été l’oeuvre des Soviétiques, de Cuba, de la Mafia américaine ou du seul Oswald ? Le 45ème président et actuel 47ème avait promis que « tout sera révélé », avant son élection, déjà. Et il a tenu sa promesse en signant son décret ordonnant la déclassification. Qu’a-t-on appris ?
- Nous nous fions à la conclusion d’un Américain, qui nous parait crédible dans son analyse relativement neutre, le lanceur d’alerte “Clandestine”.
- En fin de compte, on aura compris que la question n’est pas de savoir qui a tué JF Kennedy, mais à qui profite ce crime pour ne pas dire qui l’a commandité ?
Donc qu’il y ait un seul tireur, ou plusieurs, ce n’est pas sur ce point que les gens attendent des révélations. Du reste, avec sagacité, notre référence, Clandestine, constate que le mal, s’il est multiforme, vient de la même source, qu’il appelle la “cabale” ou la bête. Sans le savoir il utilise un langage chrétien. Là où il diverge avec l’analyse chrétienne — il est agnostique selon ses dires — c’est sa réponse à la question : “à qui profite le crime” ? La cabale, en tant que groupe trans-étatique, n’explique pas son histoire et sa naissance. Son but, dominer le monde, est certes connu, mais son antichristianisme n’est pas pris en compte. Plus exactement sa rage d’abattre l’oeuvre du Christ. Au final son hostilité envers la volonté divine de faire de l’homme son enfant. De l’homme ou des hommes qui l’acceptent.
Or, en tant que chrétiens, nous savons que le mal vient, bien sûr, d’une bête, tantôt appelée dragon, tantôt appelée serpent, lequel (ou laquelle) s’est déclaré l’ennemi de Dieu, Jésus-Christ, et l’ennemi de l’humanité … >>>
En somme le combat est bien spirituel et eschatologique.