La tristesse est venue d’une femme, ce qui a engendré la barbarie avec l’aîné de ses enfants. Puis une autre femme, bien des siècles après, nous vengea en donnant naissance à son unique, le Fils de Dieu incarné en notre chair, qui remisa dans les oubliettes la barbarie, en instituant la loi d’amour, laquelle préconise d’aimer Dieu et d’aimer tout prochain comme soi-même…COMME SOI-MÊME . Là-dessus passèrent des siècles jusqu’au siècle crucial, de la fille aînée de l’Église, qui vit l’amour de son prochain supplanté par des droits de l’homme, décrétés en excluant Dieu. À ce décret applaudirent en chœur toutes les nations réunies, quelques 200 années plus tard, à peu près. TOUTES les nations ? Il y a des états qui s’abstinrent de signer la déclaration de 1948, comme l’Arabie Saoudite, à ce jour. Après 1948, les bouillonnants Européens et, surtout, les Américains, en 20 ans à peu près, soit en 1968, franchissent un autre cap dans la recherche du bonheur sans le Créateur : les droits sexuels commencent à naitre des racines de l’arbre paradisiaque, sec et sans fruits, mais non tout à fait mort.
Et voici que, moins d’un demi siècle après, de la boîte de Pandore ainsi ouverte sur les campus de Californie, se répandirent parmi les hommes, hébétés pour certains et égarés pour d’autres, le droit de transgresser tout empêchement au désir de la chair. Ainsi qu’il va de soi le bannissement de toutes les lois sacrées qui encadraient les hommes qui tiennent à croire que celles-ci viennent d’un père attentionné…
Or donc il advint qu’il y eut une mini-stresse qui réglementa les choses en interdisant les lois naturelles de continuer à l’être; mais en créant d’autres tabous, comme celui de nommer des déviances considérées jusque-là non naturelles par les siècles passés. Il semble en effet que l’homme a besoin de tabous et de limites, de toutes façons. On déplace seulement le curseur, vers la gauche ou la droite, vers le haut ou le bas. Dans le désordre des esprits déjà bien avancé, et qui s’installe partout, on en viendra à rendre obligatoire le « veganisme », et à interdire les boucheries.
Si on se fie au passé récent, un certain homme célèbre, inventeur de religion dit-on, fut déclaré pédophile en se mariant à une fillette de 9 ans selon les canons juridiques de l’Europe, mais il s’agissait de ceux qui avaient cours avant 1968. Quelle loi « droit-de-l’hommiste », aujourd’hui en Europe peut sérieusement en juger ou en jauger ? Et même si elle était promulguée, en république française ou autre, peut-elle s’appliquer aux membres d’une communauté qui reconnaissent une autre loi, supérieure selon eux parce que divine ? Sans oublier que, déjà, on recule de plus en plus l’âge du consentement en matière sexuelle. Comme on recule l’âge du droit de vote. C’est que même si la fille jouait encore à la poupée, ses parents étant consentants et bienheureux, que la communauté visée trouve cela normal, que l’autorisation d’Allah est supposée acquise, qui peut se donner la légitimité de condamner ?
De sorte que bientôt toutes les actions passées, du temps de la barbarie, appelée ailleurs « ignorance », c’est-à-dire simplement déraisonnable, se verront validées par les lois que nous concoctent nos contemporains en responsabilité. Qu’ils aient perdus la raison, qui peut le dire ? Qui en a la légitimité, puisque la force de la loi repose sur l’homme au pouvoir, et que le pouvoir repose sur le mensonge, par définition « sans foi ni loi »?
Voilà où nous en sommes : les nouvelles normes imposent à l’homme et à la femme d’uriner pareillement… comme on peut le constater en la perfide Albion:
Bien entendu les handicapés ont toujours été des hermaphrodites :