En virologie, les expériences de « gain de fonction » consistent à modifier génétiquement des virus pour les rendre plus transmissibles ou plus virulents…pour l’homme ! Mais il y a plus s’agissant de ces expériences et de ces recherches : elles ont aussi pour but de créer des armes, et des armes biologiques capables de cibler certaines populations.
À tel point que des conventions, ou des chartes, ont été établies pour protéger les nations contre leur utilisation dangereuse.
- Dès 1925, après la 1ère guerre mondiale, c’est le Protocole de Genève qui autorisait toutefois l’utilisation d’agents de guerre chimique en représailles.
- En 1972, la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines.
- La découverte de l’ADN (acide désoxyribonucléique), puis la technique de son séquencement, ont relancé les recherches scientifiques. Celles-ci ont mené vers de nouvelles possibilités en matière de gain de fonction (GOF). Mais, faute d’entente entre les grandes puissances, il ne fut pas possible de les encadrer ni de les contrôler en vue des intérêts de l’ensemble de la communauté mondiale.
- De sorte que, vu les bénéfices financiers qu’espéraient en tirer les laboratoires privées, le conglomérat pharmaceutique, ou Big Pharma, s’engagea dans la lutte contre les pandémies, réelles ou supposées. Médicaments et vaccins à ARNM en résultèrent, comme on l’a vu en 2019/2020, avec la ou le Covid.
- Mais, d’autre part, la supériorité que pouvaient procurer, aux militaires, de nouvelles armes biologiques, décidèrent ceux-ci à s’adjoindre des apprentis sorciers, sans éthique, ou comme on disait au siècle dernier, des chercheurs sans foi ni loi, donc sans Dieu ni maître.
Les Etats-Unis, avec Trump R.F. Kennedy jr., encadrent au plan fédéral la recherche sur le gain de fonction.
- Trump signe un décret interdisant tout financement fédéral pour la recherche sur le gain de fonction ! Lui et son équipe sont au courant du réseau de laboratoires qui développent les armes biologiques, sous l’impulsion de l’État profond. Ils sont l’équivalent du complexe militaro-industriel américain, si puissant; et qui absorbe une partie non négligeable du budget fédéral !
- Ces laboratoires, déplacés hors des Etats-Unis, ont souvent été installés, secrètement, prés des pays supposés hostiles, donc la Fédération de Russie et la Chine. Ces derniers faisant sans doute de même mais sur leur propre territoire. Ces agents pathogènes artificiels, capables de provoquer de graves pandémies s’ils venaient à être relâchés, peuvent aussi cibler l’ADN d’une population donnée. C’est pour cela que la recherche sur le gain de fonction est la plus grande menace actuelle pour la survie de l’humanité. Cependant Trump et son administration devraient se donner les moyens de contrôler les laboratoires pour vraiment y mettre fin. Et établir une charte internationale pour inviter tous les états à la ratifier.
- À suivre donc…