- Le sujet est difficile à aborder. En parler est déjà s’exposer, d’un côté comme de l’autre, aux critiques. Et pourtant il s’agit simplement de souhaiter la paix et de demander que le sang cessât de couler en Palestine et en Israël.
Aussi pour toute analyse ou prise de position nous renvoyons à ces Juifs courageux qui ont une certaine légitimité à en parler, sur le site : ujfp.org. Où nous avons découvert ces trois jeunes objecteurs de conscience, de 18 ans, condamnés à 30 jours de prison pour avoir refusé de s’enrôler dans l’armée israélienne.
- Nous pourrions parler du sujet, en vérité, car nous sommes neutres en la matière.
Mais que pouvons-nous solutionner ou arranger ? C’est ajouter de la parlote et créer de l’énervement chez les uns ou les autres. Pour en revenir à notre position, nous avons la certitude, comme nous l’avons déjà dit, que l’affaire du judaïsme talmudique, ainsi que celle de l’islam, sont du ressort de Dieu. Aucune institution nationale ou internationale ; aucun homme animé de la meilleure bonne volonté ; aucun pouvoir, autre que celui du Christ, ne peut régler ces deux questions, celles de l’islam et du judaïsme talmudique dont est issu le sionisme. Ils sont liés du reste au christianisme. Et, plus encore, ils sont fortement et directement liés au Christ et à Son Eglise. Car ces hostilités religieuses et humaines, qui traversent l’histoire des deux derniers millénaires, ne sont pas seulement l’oeuvre des hommes, mais d’abord et avant tout celle de l’adversaire du Christ, celui que Jésus a appelé le “Prince de ce monde”.