La démocratie est une illusion, c’est validé et approuvé par les observateurs honnêtes de l’Occident global aujourd’hui. Le regard neutre d’un Américain que nous citons souvent, Clandestine, a eu une conclusion “définitive” en observant le cirque européen qui a décidé d’arrêter la vague nationaliste, au sens patriotique du terme. Et d’éliminer, le cas échéant, pour ne pas reproduire l’exemple de Trump aux U.S.A., les futurs candidats qui rompraient l’harmonie politique européenne sur les points que l’U.E. considère non négociables. Et même fluctuant en fonction de ses valeurs elles-mêmes fluctuantes, en matière de liberté, religieuse en particulier, et de droits de l’homme.
- Prôner la guerre et non la paix.
Mais le changement le plus notable est que, depuis les années 2000, l’Union Européenne, qui a été construite par ses fondateurs pour que règne la paix en Europe, non seulement prône la guerre, mais provoque des guerres et des conflits. Les actuels successeurs, du 21ème siècle, de Charles de Gaulle et Konrad Adenauer, entre autres, ne l’entendent pas de cette oreille là : pour la plupart de ces dirigeants européens, aujourd’hui, la guerre est leur outil pour construire la démocratie sur le continent européen. Car, comme de bien entendu, la démocratie, en temps de guerre, est mise en sourdine. Et cela facilite son dévoiement. La loi martiale est promulguée, grâce à la peur de ladite guerre qui est installée à grand renfort de propagande dans les médias. Il n’est plus question que du dangereux ennemi, qui fourbe ses armes et amasses ses divisions à la frontière. La frontière de l’union étant floue, car elle n’est plus géographique, mais idéologique.
- Constats sur la démocratie :
“Si la gauche et les médias grand public se souciaient réellement de la démocratie, ils s’insurgeraient contre la condamnation de Mme Le Pen, mais ce n’est pas le cas. Ils ne se soucient de la « démocratie » que lorsque cela leur profite. C’est du théâtre. Ils sont prêts à emprisonner l’opposition politique lorsque cela leur est favorable. Ce récit selon lequel l’OTAN serait le fervent défenseur de la démocratie est un mensonge éhonté. La France vient de le prouver une fois de plus aujourd’hui. Comment l’OTAN peut-elle prétendre que Poutine est un dictateur qu’il faut arrêter, alors que les pays de l’OTAN font bien pire ?”
Et Trump a d’ailleurs donné son opinion au sujet de l’affaire de Marine Le Pen : « Cela me rappelle ce pays.» [son pays] De fait ce qui est arrivé à Trump n’est pas un incident isolé. L’État profond n’est pas qu’en Amérique, mais dans l’ensemble de l’Occident et de ses alliés et autres satellites. Il s’ingère fortement, en particulier, dans les élections et participe à des changements de régime partout. Les élections sont une façade bien évidemment. La mise à l’écart de Călin Georgescu, en Roumanie en est la preuve. Et il est question d’agir de même en Pologne où, un certain Karol Nawrocki, se présente contre l’orientation gaucho-mondialiste du gouvernement actuel de M. Tusk. Ce dernier a averti Van der Layen, aux despotiques tendances selon beaucoup d’observateurs, du danger qu’il représente.
Car, nous sommes en train de le découvrir, l’État profond s’ingère dans les élections partout dans le monde occidental, et dans les pays qui comptent afin que le système perdure.
Mike Benz (un membre de l’équipe Trump), a déclaré, à partir de l’affaire Marine Le Pen en France, que les hommes politiques comme Bolsonaro au Brésil, Imran Khan au Pakistan, Matteo Salvini en Italie, Donald Trump en Amérique, Calin Georgescu en Roumanie…ont tous subis des poursuites pénales. À l’encontre de chacun de ces opposants le système gaucho-mondialiste a tout fait pour les dénigrer en les désignant comme des “populistes”. Voire des “fascistes” dangereux pour la démocratie, alors que ce sont d’authentiques démocrates qui veulent le bien de leur pays et de leur peuple.
- En conclusion, dans cette propension à la guerre, pourquoi ne pas utiliser la guerre économique, et couper l’herbe sous les pieds aux va-t-en-guerre ? Et il semble bien que ce soit l’orientation du président Trump, qui vient de rabattre les cartes de l’économie mondiale avec les droits de douane. Lui qui prétend ne pas vouloir de guerre, nous verrons si sa stratégie est payante bientôt. Et d’abord dans son pays, où les manifestations se multiplient.